En ce temps-là, les montagnes du Cantal abritaient des légendes connues des seuls initiés.
L’un d’eux, Jean Desprat, enfouissait son vin à l’automne sous les hêtraies d’altitude pour, au printemps suivant, le retrouver métamorphosé en sublime breuvage.
Il transmit son secret à sa descendance, car nul doute que seules les fées qui peuplaient ces altitudes étaient capables d’un tel miracle. Ainsi naquit La légendaire. Vieilli 12 mois en fûts de chêne neufs, ce Côte d’Auvergne issu de parcelles dont le rendement maîtrisé n’excède pas 30 hectolitres à l’hectare est affiné six mois en altitude dans les caves d’un buron cantalien.
La Légendaire se marie idéalement avec la gastronomie auvergnate.